Bibi vient des Grisons et s’exprime dans cette langue que seuls 0,8% des suisses parlent. Et puis elle a décidé de le chanter, de le moderniser et même – peut-être – de nous donner envie de l’apprendre. Parce qu’en l’écoutant, on garde en tête. Et si on garde en tête, on fredonne. Le pari est simple, venez l’écouter en concert, vous aurez envie de continuer à l’entendre dans votre voiture ou votre bain et finirez par connaître la traduction de « Lascha a mai » par coeur. Pari tenu ? Tantôt joyeuse, tantôt nostalgique, la pop/songwriting de Bibi Vaplan est une merveilleuse porteuse de rêves. Comme une parenthèse enchantée, vous allez l’aimer.